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mardi 29 avril 2014

Coopération pour l’investissement Haïti-Taïwan, Boulos suggère de grands changements mardi 29 avril 2014 par jeaneus wousebert Réginald Boulos n’y va pas par quatre chemins : il faut une redéfinition de la coopération entre Haïti et Taïwan. « Nous devons remplacer irrémédiablement le modèle d’assistance par le partenariat économique », propose-t-il. Taïwan devait se servir de ses millions comme levier pour garantir l’arrivée d’investisseurs taïwanais en Haïti et offrir une assurance pour « créer des emplois durables et pour encourager des partenariats d’investissement entre secteurs privés taïwanais et haïtiens, propose le patron de NH El Rancho et grand connaisseur de l’Asie. D’ailleurs, Boulos est le seul à n’être pas revenu en Haïti avec la délégation, il a mis le cap sur la Chine, la grande, pour le salon de l’auto de Pékin. Interview express. Le Nouvelliste : Vous faites partie de la délégation qui accompagne le président Michel Martelly à Taïwan, comment est venue l’invitation, quel est le sens de votre présence, quelles sont vos attentes de ce voyage ? Réginald Boulos : L’invitation m’a été transmise à travers le bureau du président de la République qui tenait à ce que le secteur privé haïtien soit adéquatement représenté durant sa visite d’État à Taïwan. Il y a 60 ans Taïwan et Haïti se retrouvaient dans les mêmes positions socio-économiques. Taïwan a su utiliser l’assistance américaine pour investir dans la production, l’éducation, l’agriculture et la technologie. Taïwan est probablement le modèle le plus approprié qu’Haïti pourrait utiliser pour définir ses politiques et actions de développement. Taïwan est aujourd’hui le plus grand investisseur en Chine continentale. Grâce à notre proximité avec les États-Unis d’Amérique, nous offrons aux investisseurs taïwanais l’accès à une société de consommation de plus de 300 millions d’habitants, plus l’accès aux consommateurs de la Caricom. Le Nouvelliste : La coopération entre Haïti et Taïwan existe depuis des dizaines d’années, estimez-vous qu’Haïti en tire le meilleur parti ? Réginald Boulos : Absolument pas. Nous devons remplacer irrémédiablement le modèle d’assistance par le partenariat économique. Que peut faire pour Haïti 50 à 80 millions de dollars par an dont la plus forte partie est dépensée en programme d’aide humanitaire. C’est à Haïti de définir ses besoins en termes d’expertises et d’investissements. Le Nouvelliste : Comme acteur du secteur privé, quelle orientation auriez-vous aimé voir prendre la coopération entre les deux pays à l’avenir ? Réginald Boulos : Je pense que la République de Chine, Taïwan, pourrait utiliser son assistance financière pour offrir des garanties aux investisseurs taïwanais prêts à créer des emplois durables et pour encourager des partenariats d’investissement entre secteurs privés taïwanais et haïtien. Propos recueillis par Frantz Duval
Haiti Numérique - La revue des Affaires. Economie, Finances et Nouvelles technologiesHaiti Numérique est la revue économique, financière et technologique d’Haïti. C’est une revue des Affaires qui présente à travers différentes rubriques, l’actualité et l’information la plus pertinente sur le système économique et financier d’Haïti. Elle présente également des rubriques sur l’actualité économique et financière à l’international, ainsi que les nouvelles technologies. Elle se veut un repère et une référence pour les étudiants, les chercheurs, les investisseurs, les hommes d’affaires ainsi que pour les entreprises et les consommateurs afin de favoriser les échanges économiques. Les principales rubriques fournissent autant d’actualités que d’informations référentielles sur les entreprises haïtiennes, le système bancaire, les organismes de réglementation, les bailleurs de fonds, dans une perspective d’affaires, d’investissements en Haïti, d’échanges à travers le système économique et financier haïtien. Une rubrique spéciale : Profil, est dédiée aux différents acteurs du système économique. Profil servira de tribune aux entreprises, aux Cadres et dirigeants d’entreprises, aux Hommes d’affaires et Entrepreneurs, aux Professionnels désireux de se positionner sur le marché ou mieux se faire connaître

vendredi 25 avril 2014


L’indice de la production industrielle d’Haïti a connu une hausse de 8.9 % en glissement annuel et de 1.5 % par rapport au trimestre précédent le premier trimestre de l’année fiscale 2013-2014, nous apprend une note succincte de l’Institut haïtien des statistiques et d’informatique (IHSI) sur sur les principaux indicateurs de la conjoncture économique du secteur réel . Cette croissance trimestrielle, commente l’IHSI, résulte d’une évolution contrastée des différentes branches d’activité. Les fabrications de produit alimentaire, les articles en bois, de papier et imprimerie et les fabrications de produit chimique ont crû respectivement de 1.6 %, 8.3 % et de 9.0 %. Par contre, le textile (-5.8 %), les minéraux non métalliques (-.6.8 %) et les ouvrages métallurgiques de base (-12.7 %) ont plutôt chuté. Par contre, la production d’énergie électrique a subi une baisse de 8.9 % en glissement annuel et une légère augmentation de 0.5 % de l’indice de par rapport au trimestre antérieur. Cette hausse trimestrielle est imputable à une amélioration de la production thermique de 3.9 %, alors que, la production hydroélectrique a régressé de 20.4 %. La consommation facturée a, pour sa part, affiché une tendance à la baisse (-2.9 %) par rapport au trimestre précédent. L’activité de construction a connu une hausse de 8.3 % en glissement annuel, mais a baissé de 4.7 % par rapport au trimestre précédent. Cette évolution négative observée pour le trimestre est en adéquation avec la diminution de la plupart des matériaux de construction importés notamment le ciment. Par ailleurs, le nombre de salariés évoluant dans le secteur a aussi baissé au cours de ce trimestre. Le commerce interne montre un accroissement de 13.3 % de l’indice de l’activité commerciale en glissement annuel et de 6.5 % par rapport au trimestre dernier. Cette variation trimestrielle positive, en valeur nominale, est due à la bonne performance des principales sous- branches notamment : les commerces de produits alimentaires (2.7 %), de véhicule automobile (8.5 %), d’accessoires de véhicules (21.8 %), d’autres biens de consommation (5.1 %) et les articles et appareils d’équipement domestique (6.6 %). L’indice des prix à la consommation a augmenté de 3.7 % en glissement annuel et de 0.6 % par rapport au trimestre antérieur. Cette évolution trimestrielle enregistrée au niveau des prix est liée à une progression des postes de dépenses dont les plus importants : Transport (1.7 %), Loisirs (2.7 %), Habillement (1.5 %), Autres biens (1.5 %) et Logement (1.4 %). L’indice des prix des produits agricoles, de son côté, a augmenté de 5.2 % en glissement annuel, mais a baissé de 0.1 % par rapport au trimestre précédent. Une baisse de 0.7 % de l’indice de la valeur moyenne des importations en glissement annuel mais un accroissement léger de 0.8 % par rapport au trimestre précédent a par ailleurs été enregistrée par l’IHSI. Parallèlement, l’indice de la valeur totale s’est contracté de 14.3 % en glissement annuel et de 9.9 % par rapport au trimestre antérieur, ce qui conduit à une diminution du quantum des importations de 13.7 % en glissement annuel et de 10.7 %, comparé au trimestre passé. Source : IHSI, premier trimestre de l’année fiscale en cours. HA/radio Métropole Haiti Voir en ligne : Métropole Haiti

mercredi 23 avril 2014

Le Venezuela va acheter de la technologie« made in Haïti » Le président du Venezuela a promis de renforcer la coopération entre Haïti et la République bolivarienne. Nicolas Maduro, qui recevait le Premier ministre haïtien, Laurent Lamothe, dimanche à Caracas, a annoncé un financement de plusieurs millions de dollars dans la fabrication de tablettes en Haïti et manifesté sa volonté d’en acheter pour les étudiants vénézuéliens. Dans le souci de supporter l'économie haïtienne, le président vénézuélien a promis d'injecter plusieurs millions de dollars américains dans le secteur technologique afin de promouvoir la production de tablettes « made in Haïti » et autres accessoires électroniques fabriqués dans le pays, a rapporté un communiqué de la Primature. Le successeur de Hugo Chavez entend placer une commande importante de tablettes à l'intention des étudiants vénézuéliens en vue, dit-il, de créer des emplois durables en faveur de la jeunesse haïtienne dans le strict respect de leur dignité. Arrivé à Caracas dimanche matin à la tête d’une délégation composée notamment de l'ambassadeur de bonne volonté pour Haïti, l’acteur américain Sean Penn, le Premier ministre haïtien a été d’abord se recueillir sur la tombe du feu président Hugo Chavez, décédé en mars de l’année dernière. Laurent Lamothe s’est ensuite entretenu avec le vice- président vénézuélien sur des projets de coopération entre les deux pays, a rapporté le directeur de communication de la Primature, Gary Bodeau. Le chef du gouvernement haïtien a, par la suite, rencontré le président Nicolas Maduro, au palais Mira Flores de Caracas. C’était aussi l'occasion pour le gouvernement d’Haïti et le président Nicolas Maduro d’apporter leur soutien et leur solidarité au gouvernement « démocratique » vénézuélien. Intervenant lundi matin sur Radio Magik 9, Gary Bodeau a déclaré que Nicolas Maduro veut intensifier le programme de PetroCaribe et du même coup explorer d’autres pistes de coopération avec Haïti. Il a souligné des domaines comme la pêche et le renforcement des projets de logements sociaux dans le pays. Le président vénézuélien et le chef du gouvernement haïtien ont convenu de diversifier les domaines de coopération entre les deux pays, lit-on dans un communiqué de la Primature. « Aussi, le président de la République bolivarienne du Venezuela s'engage à supporter la campagne nationale d'alphabétisation lancée par l'équipe gouvernementale afin de réduire le taux d'analphabétisme et de favoriser l'inclusion sociale en Haïti. » « Le président Maduro s'est dit impressionné par les progrès réalisés en Haïti en si peu de temps, tout en réaffirmant le renforcement et la pérennisation de l'accord PetroCaribe, poursuit le communiqué. Le président vénézuélien a salué « le leadership du président de la République, Michel Joseph Michel Martelly, dans sa manière de conduire la barque nationale. Il en a profité pour annoncer sa visite prochaine en Haïti », a ajouté le communiqué. « Mon gouvernement a pu lancer un ensemble de projets sociaux qui se révèlent déterminants dans l'amélioration conséquente des conditions de vie du peuple haïtien », s’est félicité le Premier ministre Lamothe. Maduro et Lamothe ont discuté aussi de « la pérennisation de l'accord PetroCaribe dans le but d'intensifier les projets sociaux en faveur de la population haïtienne. Ils ont évoqué également la stratégie à mettre en œuvre pour dynamiser la Zone économique PetroCaribe. » Par ailleurs, Laurent Lamothe s’est rendu lundi au Chili en vue d’assister à la cérémonie de prestation de serment du second mandat de Michelle Bachelet, qui aura lieu à Santiago, ce mardi. Il en profitera pour rencontrer le président chilien sortant, Sebastián Piñera, avant de s'entretenir avec le nouveau président élu, Madame Michelle Bachelet
Le Venezuela va acheter de la technologie« made in Haïti » Le président du Venezuela a promis de renforcer la coopération entre Haïti et la République bolivarienne. Nicolas Maduro, qui recevait le Premier ministre haïtien, Laurent Lamothe, dimanche à Caracas, a annoncé un financement de plusieurs millions de dollars dans la fabrication de tablettes en Haïti et manifesté sa volonté d’en acheter pour les étudiants vénézuéliens. Dans le souci de supporter l'économie haïtienne, le président vénézuélien a promis d'injecter plusieurs millions de dollars américains dans le secteur technologique afin de promouvoir la production de tablettes « made in Haïti » et autres accessoires électroniques fabriqués dans le pays, a rapporté un communiqué de la Primature. Le successeur de Hugo Chavez entend placer une commande importante de tablettes à l'intention des étudiants vénézuéliens en vue, dit-il, de créer des emplois durables en faveur de la jeunesse haïtienne dans le strict respect de leur dignité. Arrivé à Caracas dimanche matin à la tête d’une délégation composée notamment de l'ambassadeur de bonne volonté pour Haïti, l’acteur américain Sean Penn, le Premier ministre haïtien a été d’abord se recueillir sur la tombe du feu président Hugo Chavez, décédé en mars de l’année dernière. Laurent Lamothe s’est ensuite entretenu avec le vice- président vénézuélien sur des projets de coopération entre les deux pays, a rapporté le directeur de communication de la Primature, Gary Bodeau. Le chef du gouvernement haïtien a, par la suite, rencontré le président Nicolas Maduro, au palais Mira Flores de Caracas. C’était aussi l'occasion pour le gouvernement d’Haïti et le président Nicolas Maduro d’apporter leur soutien et leur solidarité au gouvernement « démocratique » vénézuélien. Intervenant lundi matin sur Radio Magik 9, Gary Bodeau a déclaré que Nicolas Maduro veut intensifier le programme de PetroCaribe et du même coup explorer d’autres pistes de coopération avec Haïti. Il a souligné des domaines comme la pêche et le renforcement des projets de logements sociaux dans le pays. Le président vénézuélien et le chef du gouvernement haïtien ont convenu de diversifier les domaines de coopération entre les deux pays, lit-on dans un communiqué de la Primature. « Aussi, le président de la République bolivarienne du Venezuela s'engage à supporter la campagne nationale d'alphabétisation lancée par l'équipe gouvernementale afin de réduire le taux d'analphabétisme et de favoriser l'inclusion sociale en Haïti. » « Le président Maduro s'est dit impressionné par les progrès réalisés en Haïti en si peu de temps, tout en réaffirmant le renforcement et la pérennisation de l'accord PetroCaribe, poursuit le communiqué. Le président vénézuélien a salué « le leadership du président de la République, Michel Joseph Michel Martelly, dans sa manière de conduire la barque nationale. Il en a profité pour annoncer sa visite prochaine en Haïti », a ajouté le communiqué. « Mon gouvernement a pu lancer un ensemble de projets sociaux qui se révèlent déterminants dans l'amélioration conséquente des conditions de vie du peuple haïtien », s’est félicité le Premier ministre Lamothe. Maduro et Lamothe ont discuté aussi de « la pérennisation de l'accord PetroCaribe dans le but d'intensifier les projets sociaux en faveur de la population haïtienne. Ils ont évoqué également la stratégie à mettre en œuvre pour dynamiser la Zone économique PetroCaribe. » Par ailleurs, Laurent Lamothe s’est rendu lundi au Chili en vue d’assister à la cérémonie de prestation de serment du second mandat de Michelle Bachelet, qui aura lieu à Santiago, ce mardi. Il en profitera pour rencontrer le président chilien sortant, Sebastián Piñera, avant de s'entretenir avec le nouveau président élu, Madame Michelle Bachelet

mardi 22 avril 2014

Haïti à la 6e conférence mondiale sur le développement des télécommunications

Plus de 1600 participants. 150 pays représentés. Cette semaine, à Dubai (Emirats arabes unis), ce sont les décideurs du monde des télécoms qui se réunissent pour la VIe Conférence mondiale de développement des télécommunications.
Cet événement de haut niveau de l’Union Internationale des Télécommunications (UIT) revêt en effet une importance majeure : car l’un des résultats attendus au terme des assises le 10 avril prochain est le Plan d’action de Dubai, qui fixera le programme du développement des télécommunications et des technologies de l’information et de la communication pour les quatre prochaines années.
Mais, au cours de ce forum mondial ouvert le 30 mars écoulé, les dialogues ne se portent pas uniquement autour de cet agenda international de référence. Seront aussi débattues lors des séances de discussions les problématiques actuelles que confrontent le secteur, notamment la question de la large bande qui constitue d’ailleurs le thème de la conférence (« La Large Bande pour le développement durable »), la question de la cybersécurité qui est une préoccupation centrale au niveau international, la question du passage de la télévision analogique vers la télévision numérique ainsi que la question des applications des TIC au développement ; lesquelles applications touchent aux secteurs vitaux de l’activité des peuples telles que la médecine, le commerce, l’agriculture, l’éducation et la gouvernance.
« Au-delà d’une participation symbolique »
A cette conférence de deux semaines, Haïti est représentée par une délégation de l’Administration nationale des télécommunications regroupant le Ministère des Travaux publics, Transports et Communications (MTPTC)qui est dépositaire des missions politiques du secteur et qui a l’obligation de s’assurer que le pays dispose d’une infrastructure de l’information appropriée et le Conseil national des Télécommunications (CONATEL), son autorité de régulation. « L’intérêt d’Haiti pour cette manifestation répond, non pas à une exigence d’une présence symbolique ou anecdotique, mais à la nécessité de se donner les moyens de définir une gouvernance technologique qui puisse garantir la contribution des technologies au développement du pays, partant bien entendu de la planification nationale globale pour le développement », a expliqué la délégation haïtienne au Nouvelliste.
Dans une interview accordée au journal en marge des discussions, les représentants d’Haïti, les ingénieurs Jean-Marie Maignan et Jean David Rodney ont tenu à préciser la signification de la participation du pays : « Il ne s’agit pas de mettre en place des pseudo-structures qui reproduisent des programmes et projets que nous voyons se développer à l’échelle internationale, sans nous assurer des termes de référence en adéquation avec les besoins réels. Il ne s’agit pas non plus de répondre aux pressions des groupes d’intérêts nationaux et internationaux pour coopter des solutions technologiques non adaptées aux exigences réelles du développement- car, l’histoire de l’évolution du secteur reflète cette mitigation qui nous aura vu rater des opportunités claires de nous positionner avantageusement sur l’orbite du développement technologique- .
Leur mission à cet événement est tout autre : « Il s’agit de s’approprier des enjeux, des problématiques et d’aviser, à travers une politique sectorielle bien pensée, des modalités conceptuelles et opérationnelles permettant d’intégrer la technologie dans la planification nationale pour le développement ».
Beaucoup de chantiers pour Haïti
Mais le pays est-il aujourd’hui en phase avec les évolutions du secteur ? Le CONATEL le veut bien. Ses lignes d’action se portent en effet sur :
· La large Bande pour laquelle il a reçu une délégation du MTPTC pour travailler avec la Banque interaméricaine de développement (BID) aux fins de l’élaboration d’un programme national y relatif.
·La transition de la télévision analogique vers la télévision numérique dont un premier cadrage effectué par une cellule technique a permis de mettre en place l’ensemble des mécanismes destinés à assurer un déploiement harmonieux de l’infrastructure y relative.
· La cybersécurité pour laquelle un agenda national est en cours d’élaboration dans le cadre d’une collaboration multisectorielle. · La promotion de l’accès universel dans lequel s’inscrit le projet « SCOLARITECH » consistant à équiper les écoles et autres centres de formation en facilités technologiques nécessaires. · La promotion et le contrôle de la qualité de service à travers un agenda de portabilité des numéros. · La gestion et le contrôle du spectre radioélectrique.
« La prise en charge de ces lignes d’actions ne s’assurerait nullement de sa fiabilité et de sa viabililité si elle ne s’appuyait opportunément sur l’expérience internationale en la matière développée notamment à travers des commissions d’études et autres structures d’encadrement thématiques (Commission sur la « Large Bande ») mises en place au niveau du creuset d’appropriation technologique que constitue l’UIT », a souligné pour Le Nouvelliste les membres de la délégation.
« Telecom World 2014 » : une opportunité
Ainsi, après la Conférence mondiale sur le développement des télécommunications, l’Administration haïtienne des télécommunications devrait participer à d’autres rendez-vous mondiaux au cours de l’année : la réunion de suivi du Sommet mondial sur la société de l’Information (SMSI) en juin 2014, les premières réunions des Commissions d’études du secteur du développement de l’UIT en septembre prochain pour le nouveau cycle 2014-2018 et du 20 octobre au 07 novembre à la Conférence des plénipotentiaires de l’UIT (PP-14), instance suprême de l’Union qui, non seulement devra valider les conclusions des Conférences des trois secteurs de l’UIT- notamment la CMDT/14 – mais encore renouveler le personnel dirigeant de l’Institution, depuis le Conseil jusqu’au Secrétaire général en passant par les postes de vice- secrétaire général, de directeurs des trois Bureaux et du Comité du règlement des radiocommunications.
Selon la délégation haïtienne à Dubai, dans ce cycle des grandes manifestations statutaires de l’UIT, le pays pourrait profiter surtout de la manifestation phare « Telecom World 2014 » qui se tiendra à Doha au Qatar du 7 au 10 décembre prochain. Cet évenement permettrait au pays de s’approprier de la prospective et de la veille technico-économique qui y est associée. Mais aussi une Haiti « open for business » profiterait du volet « Exposition » de cette manifestation pour avoir un kiosque « Pays » et assurer le marketing de ses potentialités aux niveaux commercial, touristique, et d’investissement dans un pays et une région réputés fortement sensibles aux opportunités.
Entre-temps, jusqu’au 10 avril, les discussions autour du développement des TIC se poursuivent entre les décideurs gouvernementaux dans le World Trade Center de Dubaï. A l’heure des médias sociaux, des applications mobiles et de l’Internet, planifier le développement des TIC ne revient-il pas aussi à traiter de l’avenir même de notre monde ? L’Union Internationale des Télécommunications est l’organe spécialisé des des Nations unies pour les Télécommunications et les Technologies de l’Information et de la Communications (TIC). La participation d’Haïti s’inscrit logiquement dans le cadre des droits et obligations qui lui incombent en tant que membre de plein droit du système des Nations Unies. La Conférence Mondiale de Développement des Télécommunications (CMDT) est, depuis la première en Argentine en 1994, une manifestation statutaire du système (depuis 1996) qui se tient sur une base quadri-annuelle (chaque quatre ans). Elle est appelée à définir le plan de travail du secteur de développement de l’UIT pour les quatre prochaines années. Carl-Henri Cadet Dubai
epinexthaiti@gmail.com

Bientôt le premier réseau de télévision haïtien aux USA

lundi 21 avril 2014 par jeaneus w.
Lancement prochainement aux Etats-Unis de SCBN (Space Coast Broadcasting Network), le premier réseau de télévision haïtien avec trois canaux qui offrent des émissions de télévision en créole, 24 sur 24, avons-nous appris.
>SCBN est disponible sur les lecteurs de Roku qui se raccordent directement à votre téléviseur et votre service Internet à grande vitesse par le biais de votre réseau résidentiel.
"Les Haïtiens vivant aux Etats-Unis vont profiter de trois canaux qui offrent des films, émissions de télévision, sports, musiques, bulletins de nouvelles, programmations pour enfants et plus.
SCBN vous donnera un choix presque illimité de divertissement", a déclaré Frantz Alcéma, directeur de programmation de Space Coast Broadcasting Network.
"SCBN est disponible gratuitement sur un boîtier qui vous permet de profiter aisément des émissions de télévision, musiques, matchs de sport et plus à l’écran de votre téléviseur en le diffusant directement en continu depuis l’Internet.
7,4 millions de personnes aux Etats-Unis utilisent Roku pour accéder instantanément et sur demande à leur divertissement préféré", a informé plus loin M. Alcéma, directeur de Programmation de SCBN, également notre collaborateur à HPN.
Space Coast Broadcasting Network qui se trouve en Floride est disponible sur les lecteurs Roku en Français/Créole, Anglais et Espagnole, cependant, en raison de contraintes de licence, les contenus de SCBN ne sont pas disponibles en dehors des États-Unis.
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Haïti - : Programme de 3 millions de la BID pour les énergies propres

Haïti - Énergie : Programme de 3 millions de la BID pour les énergies propres
La Banque Interaméricaine de Développement (BID) soutient avec 3 millions de dollars américains, un programme de coopération technique afin d´aider le gouvernement haïtien à tester différentes solutions énergétiques pour l’électrification rurale dans le pays.

Haïti possède le taux le plus bas d´accès au réseau électrique en milieu rural des Amériques. Environ 70% de la population en zone rurale n´y a pas accès.

Le nouveau projet permettra de financer des études de faisabilité et des projets pilotes pour tester des modèles basés sur l'énergie solaire, la biomasse renouvelable ou sur des approches hybrides, lesquelles peuvent combiner des usages plus efficaces des combustibles fossiles aux sources d'énergie renouvelables.

La coopération technique servira également à financer des études visant à déterminer la faisabilité de l'introduction du gaz naturel en Haïti. En effet, le pays dépend actuellement des importations de combustibles fossiles pour la génération d´électricité, lesquels sont plus chers et polluants.

De plus, le projet permettra d'aider le gouvernement haïtien à établir un bureau pour l'électrification rurale ainsi qu´à élaborer un système normatif qui promouvoit et encadre l'utilisation efficace de l´énergie propre pendant le processus d´électrification rurale.

« Ces études apporteront plus de clarté sur d´importantes lacunes d´information. Notre objectif est de donner au gouvernement haïtien une image fiable et claire de ce qu'il faudra faire pour mener à bien l'électrification rurale sur la base des énergies renouvelables », a déclaré le spécialiste sénior en énergie, Christiaan Gischler, Chef d'équipe du projet.

Les ressources qui financent ce projet de coopération technique proviendront du Fonds pour la reconstruction d'Haïti (2 millions), de l´Initiative pour l'énergie durable et le changement climatique de la BID (un demi-million de dollars) ainsi que du Fonds coréen pour la technologie et l´innovation géré par la BID (un demi-million de dollars).
 Technologie en HAITI : 105 kilomètres de Fibre Optique dans le Sud


Haïti - Technologie : 105 kilomètres de Fibre Optique dans le Sud
Le Groupe espagnol Ezentis, renforce sa position en Haïti, en remportant un nouveau contrat de 3,9 millions de dollars pour l’installation de 105 kilomètres [souterrain] de fibre optique dans le Sud du pays. Ce contrat d’une durée de 6 mois, vient s'ajouter à celui déjà accordé en Juillet dernier pour un montant de 1,6 million de dollars.

Après seulement deux ans, Ezentis en Haïti, a réussi à devenir le responsable de l'entretien de l'ensemble de la fibre optique du pays, consolidant ainsi sa position d'acteur de référence dans la région Caraïbe.

En savoir plus sur le Groupe Ezentis :
Ezentis, créé en 1959 est l'une des principales entreprises espagnoles dans les solutions technologiques et le développement d'infrastructures pour les secteurs de l'électricité et des télécommunications. Le Groupe opère principalement en Espagne et en Amérique latine, où se trouve 90% de son activité. Le Groupe Ezentis compte parmi ses clients des entreprises leaders dans son secteur, pas seulement au niveau national mais aussi international (Telefonica, Endesa (Edenor and Edelnor) Indra, AENA, Ministry of Defence, etc...) Ezentis est cotée à la Bourse de Madrid et Bilbao.
Haïti - Télécommunication : Digicel Group fait l’acquisition d’un réseau de fibre optique sous-mari


Haïti - Télécommunication : Digicel Group fait l’acquisition d’un réseau de fibre optique sous-marin
Digicel Group a annoncé la conclusion d’un accord avec le Groupe Loret basé en Guadeloupe et le Caribbean Fibre Holdings pour l’acquisition de Middle Caribbean Network, Southern Caribbean Fibre, Antilles Crossings et un bon nombre d’actifs liés à « Global Caribbean Fibre ». Cet accord permettra au groupe d’avoir son propre réseau d’accès exclusif par câbles à fibre optique sous-marin d'environ 2,100 km de Trinidad à Guadeloupe.

Un accord a été également conclu avec Global Caribbean Fibre et Global Caribbean Network pour fournir des capacités de fibre optique sous-marines de la Guadeloupe à Porto-Rico avec une connexion à partir du territoire des États-Unis.

Au total, c’est un accès à un réseau solide composé de 15 segments sous-marins avec une portée de plus de 3,100 km à travers la région des Caraïbes qu’obtient la compagnie téléphonique. C’est aussi une vaste capacité passant sur d'autres réseaux sous-marins le reliant à des endroits comme Miami, Paris et New York.

Les termes financiers du contrat n'ont pas été divulgués et la transaction reste soumise à l'approbation réglementaire.

Colm Delves, le PDG de Digicel Group, a déclaré « Nous sommes toujours à la recherche de nouveaux moyens afin d’offrir à nos clients choix et innovation. L'acquisition de ce réseau sous-marin garantit une capacité de débit supplémentaire important. Cette capacité supplémentaire est au centre de notre tendance constante d'offrir des services et produits novateurs à nos clients dans un monde avide de données. »
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Haïti - Technologie : L’impression 3D fait son entrée en Haïti


Haïti - Technologie : L’impression 3D fait son entrée en Haïti
À Port-au-Prince, iLab Haïti, veut apporter une solution au manque récurrent d’objets de première nécessité, à partir d’impression 3D et résoudre ainsi, certains des besoins immédiat d’Haïti.

Avec ses deux premières imprimantes 3D « Makerbots » iLab Haïti enseigne comment modéliser des objets en 3D, réparer et entretenir ces machines. Travaillant avec une association américaine « KidMob », ses premières productions restent des objets simples, à usage unique comme des pinces pour les cordons ombilicaux qui manquent souvent dans les hôpitaux...

iLab Haïti est actuellement à la recherche de partenariats avec des startups telles que Filabot, spécialisée dans le recyclage des plastiques de tous les jours, en filaments utilisables dans une imprimante 3D.

Dans le monde, l’impression 3D permet déjà de créer sur demande et à l’infini des objets : pièces de rechange ou petits objets utiles au quotidien, coques pour portables, objets décoratifs ou utilitaires, articles de cuisine, bijoux, prototypes, maquettes, jouets... Notez que l’impression sur mesure pour une pièce unique ou de petits tirages revient beaucoup moins cher avec cette technologie 3D que la production de cette même pièce à partir d’un moule dont le coût est généralement élevé.

Après le plastique, la démocratisation des imprimantes 3D capable de produire des objets en métal s’annoncent déjà. Les modèles existants en raison de leur prix très important, en réserve l’usage à l’industrie et l’aérospatiale. Toutefois, une équipe de scientifiques de l'Université du Michigan travaille à la conception d'une imprimante 3D capable d'imprimer des pièces en métal, destiné au grand public à un prix inférieur à 2,000 dollars. Le prototype permet déjà de produire des pièces métalliques de grande précision avec des alliages de fer, d’aluminium, de manganèse, de nickel ou même de titane, selon les propriétés mécaniques et la résistance à la corrosion que l’on souhaite obtenir.

Imaginons demain en Haïti, il sera possible par exemple d’obtenir chez un garagiste une pièce de rechange fabriquée sur demande, sans avoir à subir les délais de l’importation. Les perspectives et l'usage de l’impression 3D ne sont limité que par notre imagination. Une nouvelle révolution est en marche dans notre pays.
epinexthaiti@gmail.com
Haïti - Technologie : La TV numérique, une mutation technologique à l'échelle nationale
08/03/2014 09:46:12


Haïti - Technologie : La TV numérique, une mutation technologique à l'échelle nationale
Récemment le Conseil National des Télécommunications (CONATEL), dans le cadre de sa campagne de sensibilisation sur la transition de la télévision analogique à la télévision numérique en Haïti, entrainant une mutation technologique à l'échelle nationale a effectué une tournée à travers les dix départements géographiques du pays, se rendant au Cap-Haïtien, au Gonaïves, à Saint-Marc et à Jacmel.

Le but de cette tournée était d' informer les opérateurs de télévision, les téléspectateurs, les fonctionnaires de l'Etat et le grand public en général des enjeux sociaux, économiques et culturels de cette transformation du paysage télévisuel. Le CONATEL veut que la Transition soit inclusive, participative et, en conséquence, un succès national. Pour informer la nation de la planification et de l’état d’avancement du processus, comprendre ses préoccupations et recueillir du même coup ses commentaires et suggestions sur cette grande mutation technologique, l'équipe de communication du régulateur des télécommunications sillonne le territoire national.

Les sujets abordés lors de cette tournée étaient Pourquoi Haïti s'est-elle embarquée dans la transition de télévision analogique à la télévision numérique ? et Comment l'État haïtien a-t-il planifié la transition pour qu'elle soit un succès national ?

Quatre présentations ont été faites dans ces 4 villes, plus d'une centaine de Directeurs et de représentants de stations de télévision ainsi que des journalistes de la presse parlée et télévisée ont constitué le public-cible de cette importante activité.

Après l’introduction du Présentateur Jean Claude D. Chery, l’économiste et conseiller en communication, méthodologie et consolidation technique au Cabinet de la Direction Général du CONATEL, M. Rose Nesmy Saint-Louis, a fait la mise en contexte : la mutation technologique et transformation du paysage télévisuel, une démarche visant à mieux préparer les invités à maitriser la matière et l’esprit des deux exposés. Avec des mots simples, il a montré comment et pourquoi il faut absolument « se mettre au pas et en état ! » pour faire la transition de façon ordonnée, inclusive et participative.

Lors de la première présentation, l'ingénieur Gregory Domond, spécialiste en Technologies de l'Information et de la Communication (TIC) et membre du Bureau Technique de la Direction Générale du CONATEL, a présenté son exposé avec autant de méthode que de cohésion. Le sujet : les enjeux et la planification du processus de transition vers la télévision numérique. Allant droit au but, il a souligné la nécessité de voir l’abandon du système analogique au profit du système numérique comme le résultat d’un changement technologique. Tout en spécifiant que la nouvelle réalité touchera la radio après la télé, il a mis en valeur les divers aspects de ce changement, ses avantages, son caractère multi-sectoriel, ses implications techniques, technologiques, économiques et sociales. Aussi a-t-il développé la méthodologie et les lignes directrices utilisées dans la planification de la transition, laquelle s’articule autour de six axes :

Appropriation nationale de l’agenda de la transition : cadre politique et de règlementation, communication (sensibilisation et promotion autour du processus de transition) ; planification infra-structurelle de la transition ; planification info-structurelle (contenus et programmes) ; évaluation économique et mesures d’accompagnement et gestion post-transitionnelle (dividende numérique et suivi de l’évolution du secteur).

Le conférencier a fourni beaucoup d’explications et nombre de détails sur les démarches, les prévisions, etc. Sans perdre de son souffle, il a abordé la phase des questions avec beaucoup d’à-propos, à la satisfaction des propriétaires/directeurs de Télévision de la région.

Les deux types de système de télévision (analogique et numérique) ont été passés en revue pour mieux permettre aux participants de saisir la différence. Très technique, et avec un ton chaleureux, il a expliqué le processus de la transmission d’images dans les deux systèmes. Pendant plus d’une heure, il a mis en lumière l’évolution de la télévision, du « noir et blanc » à la télé couleur, et maintenant au numérique. De plus, il a précisé que la transition concerne le service de télévision en ondes claires, nettement différent du service de télévision payant.

M. Domond a présenté l’architecture du réseau de la télévision numérique et ses principales composantes : production de contenu (chaine de télévisions), transport (liaison fixe entre le studio et le site d’émission), multiplexage (regroupement de plusieurs programmes sur un même canal) et diffusion (propagation du signal télévisé dans une zone de couverture déterminée). Le rôle du multiplexage, nouvel élément de l’architecture de la Télévision Numérique Terrestre (TNT), a été disséqué en raison de l’environnement du nouveau paysage.

Contrairement à l’environnement de télévision analogique, dans lequel un opérateur gère tout le système, chaque composante du système, dans le contexte numérique, peut être opéré par un opérateur différent. Cette nouvelle situation implique un nouveau mode de fonctionnement pour les opérateurs et les producteurs. À titre d'exemple, plusieurs émissions peuvent être diffusées, grâce au multiplexage, sur un seul émetteur. Considérant la capacité d'un seul signal pour la diffusion de plusieurs programmes (chaines de télévision), on peut parler d’un changement majeur dans le système de transmission des signaux de télévision. Dans un tel environnement, le producteur de programmes pourrait ne pas être le diffuseur. Ainsi, face à la nouvelle réalité qui s’impose, le multiplexage favorise le partage d’infrastructures de diffusion.

Lors de la deuxième présentation, animée par l’ingénieur Jean Claudy Balan, la seconde présentation a été consacrée exclusivement aux aspects techniques de la transition.

Dans un premier temps, il a parlé du fonctionnement d’un système de télévision — allant des composantes de la chaine de valeur d’un système de télévision, en passant par les différentes normes et la compatibilité, jusqu'à l’évolution des systèmes audiovisuels, soit l'illustration de l’ensemble des caractéristiques d’une émission de télévision. Dans un second temps, M. Balan a présenté le plan préliminaire du déploiement de la télévision numérique tout en énumérant ses différentes étapes. Il a annoncé le recrutement par le CONATEL d'une firme spécialisée capable de fournir l'assistance technique nécessaire au déploiement définitif de la télévision numérique en Haïti. Un atelier sur les paramètres techniques de diffusion sera animé par ladite firme à l’intention des acteurs concernés par la transition.

Suite aux deux présentations, des questions pertinentes ont été posées. L'économiste Rose Nesmy Saint-Louis après chaque présentation, s'est joint à l’ingénieur Jean Claudy Balan pour apporter des compléments de réponses et/ou d’explications. Les réponses ont été, selon les invités, « à la hauteur des attentes ».

Rappelons que le passage de la Télévision analogique à la télévision numérique est une exigence de l’Union internationale des Télécommunications (UIT) qui fixe la date butoir au 17 juin 2015, pour compléter cette transition. Elle n’a pas été cependant imposée à Haïti.
Haïti - Technologie : Maarten Boute redevient PDG de Digicel Haïti


Haïti - Technologie : Maarten Boute redevient PDG de Digicel Haïti
Le Groupe Digicel, a annoncé cette semaine, le retour de Maarten Boute au poste de Président Directeur Général (PDG) de sa filiale en Haïti, avec effet immédiat. Il prend la relève de Mme Ineke Botter, qui a démissionné pour des raisons personnelles.

Rappelons que M. Boute, qui a déjà occupé ce poste pendant trois ans, avait quitté cette fonction en 2012, mais était resté dans l'entreprise à titre de consultant, se concentrant sur de nouvelles sources de revenus pour Digicel Haïti et sur le développement de services à valeur ajoutée, y compris les activités de TchoTcho Mobile et son investissement dans l’entreprise de finances Boom.

« Je suis ravi d'être de retour dans le rôle de PDG pour Digicel Haïti. Depuis 2012, je suis resté au pays à travailler sur de nouveaux projets qui, je crois, vont contribuer au développement d’un avenir meilleur pour Haïti et j'ai hâte d’entreprendre cette nouvelle aventure [...] » a déclaré Maarten Boute.

Régis Romero, le Président Directeur Général de Digicel Caraïbes et Amérique Centrale, a déclaré « Nous souhaitons la bienvenue à Maarten Boute pour son retour [...] Depuis sa nomination initiale à Digicel en 2009, Maarten a démontré son dévouement et son dynamisme dans ce qui a été parfois des situations difficiles et nous sommes fiers de l'avoir de nouveau à bord à plein temps [...] Nous tenons également à remercier Mme Ineke [Présidente sortante] pour son travail acharné et son dévouement durant la période passée avec Digicel Haïti et nous lui souhaitons le meilleur dans ses projets futurs. »




Le recyclage  avec les artistes haïtiens c’est du merveilles même  avec les yeux  vous n’oser pas s’y croire mais c’est très réaliste leurs  tableaux comme dit l’autre rien ne se perd mais tous se transforme   en Haïti  la positivité est la  avec les jeunes dans l’art et la technologie du métier